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Deux œuvres extraordinaires se complètent : la rhapsodie de Bloch, aux sonorités luxuriantes, mélange de décadentisme post-romantique et d’orientalisme, porte le violoncelle à un apogée technique. Comme chez Bloch, la 5e de Mahler tutoie une virtuosité assumée, démarrant en écho aux Kindertotenlieder, mais conjurant la pulsion de mort. Son fameux Adagietto, inoubliable musique du film Mort à Venise de Visconti, constitue la plus émouvante preuve d’amour de Gustav à son Alma. En savoir plus : Salon-prélude le vendredi 6 janvier 2017 à 19h - Salle Louisville / Le Corum

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